V rámci edice AVM vyšla kniha beninského básníka Richarda Dogbeha (1932-2003) Voyage au pays de Lénine Notes de voyage d’un écrivain africain en URSS, k níž napsal úvod a předmluvu člen CWRG Konstantin Katsakioris.
En septembre 1966, le poète dahoméen Richard Dogbeh effectue un voyage en Union soviétique suite à une invitation de l’Union des Écrivains de l’URSS. Il visite Moscou et Leningrad et participe à la Conférence internationale de solidarité avec le peuple vietnamien organisée à Bakou par l’Union des Écrivains. Il s’entretient avec de grandes figures des lettres de l’Union soviétique, dont l’écrivain Constantin Simonov et le poète Evguéni Evtouchenko.
Dans son carnet de Voyage au pays de Lénine, Richard Dogbeh relate ses impressions sur la vie culturelle et artistique, sociale et politique en URSS. Touché par la chaleur humaine et impressionné par les institutions culturelles et pédagogiques, il reste pourtant très critique face aux contraintes idéologiques imposes par le régime. Richard Dogbeh, qui n’était pas communiste, mais pas advantage anticommuniste, a pu voir avec lucidité en quoi le socialisme soviétique pouvait être source d’inspiration pour le développement social et culturel de l’Afrique, mais en quoi elle devait également s’en prémunir. Son récit constitue une source historique extraordinaire témoignant des préoccupations des intellectuels africains au lendemain de la décolonisation, nous permettant également de comprendre pourquoi l’URSS constituait alors une référence incontournable.
Dans son carnet de Voyage au pays de Lénine, Richard Dogbeh relate ses impressions sur la vie culturelle et artistique, sociale et politique en URSS. Touché par la chaleur humaine et impressionné par les institutions culturelles et pédagogiques, il reste pourtant très critique face aux contraintes idéologiques imposes par le régime. Richard Dogbeh, qui n’était pas communiste, mais pas advantage anticommuniste, a pu voir avec lucidité en quoi le socialisme soviétique pouvait être source d’inspiration pour le développement social et culturel de l’Afrique, mais en quoi elle devait également s’en prémunir. Son récit constitue une source historique extraordinaire témoignant des préoccupations des intellectuels africains au lendemain de la décolonisation, nous permettant également de comprendre pourquoi l’URSS constituait alors une référence incontournable.
Více zde.